Le 6 février 2014, il a contacté son père pour la dernière fois : « Papa, ne t’inquiète pas pour moi, je vais reconstruire ma vie, je sais que Dieu me protège. ». Le Noël précédent, quand Bikai lui avait fait part de son intention de partir, son père lui avait promis de lui ouvrir le chemin par la prière. Depuis lors, ils célèbrent chaque année une messe en sa mémoire, une façon d’entretenir le souvenir face à la douleur de ne pas savoir ce qu’est devenu son corps ni où il se trouve.
Vous pouvez en apprendre davantage sur son histoire dans notre documentaire « Tarajal: Transformar el dolor en Justicia »