Il étudiait et travaillait en même temps. Sa famille se souvient de lui comme d’un travailleur acharné et courageux. Avant de tenter la traversée, il avait appelé sa tante, sa mère et son frère afin qu’ils prient pour lui. Ça a été la dernière fois qu’ils lui ont parlé. De jeunes garçons leur ont dit que Daouda était mort. L’ambassadeur du Cameroun au Maroc avait fait la promesse de lui offrir des funérailles afin qu’il puisse reposer en paix. Il leur a envoyé une photo de sa sépulture.
Vous pouvez en apprendre davantage sur son histoire dans notre documentaire « Tarajal: Transformar el dolor en Justicia »